Salle de Consommation : les Pays-Bas consolident, la France avance et la Belgique… bloque ?

Après un accueil très réservé à la proposition de loi, introduite par Willy Demeyer, visant à créer un cadre légal pour permettre la mise en route de salles de consommation à moindre risque et permettre de dispenser des traitements de substitution à la diacétylmorphine (TADAM), la majorité parlementaire a demandé que la Commission Santé de la Chambre rende un avis avant de se prononcer sur cette proposition de loi.

Une trentaine d’acteurs du secteur de la toxicomanie, dont la FEDITO BXL, a publié une carte blanche dans la Libre Belgique le 25 avril 2015, appelant le gouvernement fédéral à dépasser ses craintes et préjugés et de mettre en place une politique basée sur les résultats scientifiques, dans un ensemble cohérents de mesures.

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Pas d’héroïne médicale ni de salles de consommation: le gouvernement a tranché

La majorité a accepté mardi [31 mars 2015] que la commission de la Santé publique de la Chambre formule un avis à la commission de la Justice sur l’opportunité de légaliser la délivrance d’héroïne médicale et la mise en place de salles de consommation, seule concession accordée au député-bourgmestre de Liège Willy Demeyer (PS), auteur de deux propositions de loi favorisant une approche innovante de la prise en charge de la toxicomanie après l’échec de la répression. (RTBF/Belga) Lire la suite

Revue de presse : Willy Demeyer veut légaliser les salles de consommation de drogues

Willy Demeyer, sénateur-bourgmestre de Liège, vient de déposer deux propositions de loi visant à parfaire la prise en charge des usagers de drogues. La première concerne la légalisation des salles de consommation et la seconde celle du traitement assisté par diacétylmorphine.
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Salles de consommation, sujet à risque (électoral) ?

À l’annonce de la journée d’étude « Bientôt des salles de consommation à moindre risque en Belgique » organisée le 24 octobre prochain par la Liaison antiprohibitionniste, Alter Échos s’est jeté sur son téléphone pour prendre le pouls de l’état d’avancement de la réflexion ici et là. Force est de constater que le sujet est sensible. Et que la communication des autorités publiques sur le sujet est sous contrôle… Lire l’article sur le site d’Alter Échos